• 3. Vie étudiante,

► Retour d'expérience Master LEA 2020-2021

Retour d'expérience d'un cursus LEA aboutissant à un Master

carte AFFUMT universités
• Mon parcours :

Je m’appelle Ilénia, j’ai 21 ans et je suis actuellement en master de Traduction Spécialisée Multilingue à l’Université de Lille. Après l’obtention de mon baccalauréat série A2 (équivalent de la série L) au Bénin, mon pays d’origine, j’ai emménagé en France. J’ai ensuite intégré la filière LEA Anglais-Italien de l’Université Toulouse Jean Jaurès, puis je me suis spécialisée en AEI (Affaires Économiques Internationales).

• Mes conseils :
Dès le début de l’année en L1, je me suis rendue compte que le niveau en LEA (surtout en anglais) était très élevé. Mon premier conseil est donc de choisir cette filière par passion et d’être prête à devoir travailler énormément.
Mon deuxième conseil concerne le niveau en langues : afin d’améliorer son niveau dans les différentes langues, des bains linguistiques réguliers (si possible) ou alors l’écoute régulière de radios, de films et d'émissions télévisées, la lecture d’articles économiques (ceux du Guardian par exemple) sont d’une grande utilité (surtout en anglais, mais aussi dans la deuxième langue, et ce de façon plus ou moins régulière suivant le niveau).
Aussi, il ne faut pas hésiter à faire des devoirs supplémentaires, à les faire corriger par ses enseignants afin que ceux-ci puissent suivre votre progression et vous dire exactement quelles sont vos erreurs, comment les rectifier. Il ne faut pas voir ces exercices supplémentaires comme un fardeau, mais plutôt comme un réel moyen de s’améliorer grâce au feedback et aux conseils reçus.
Ensuite, je dirais qu’une organisation efficace est capitale, ainsi qu’une bonne hygiène de vie afin d’être physiquement et mentalement « au top » !

• Activités :
Faire certaines activités à la fac permet également de « booster » son niveau. Dans mon cas, j’ai eu à être contributrice et traductrice pour le blog de la section d'italien de mon département (Langues étrangères \ Italien). Je savais en effet que je voulais être traductrice et cette expérience m’a été bénéfique. Je choisissais les textes à traduire moi-même et je me faisais superviser (surtout au niveau des corrections et de la relecture) par une de mes enseignantes d’italien de l’époque.

Je souhaite bon courage à tous ceux qui se trouvent actuellement en LEA d’autant plus que le contexte actuel est assez... compliqué.
Sachez que les efforts finissent toujours par payer. Ne craignez donc pas le changement, craignez plutôt la routine (ma devise !)
Dates
Créé le 2 mars 2021